la dame du lac après le 15 aôut

J'étais revenu de vacances et me retrouvais libre le samedi après le 15 août. Pas facile de trouver une sirène de libre, soit elles sont en vacances, soit elles sont en famille, soit elle se remettent de leurs vacances. Mais, la dame du lac se propose de m'accueillir chez elle pour continuer nos ébats et sa découverte du bdsm. Je prends donc la route du lac d'Aiguebelette, grimpe sur les hauteurs et me stationne devant chez elle. Waouh .... première impression : quel point de vue !!! les montagnes, le lac, la forêt, rien que cela mérite le déplacement, l'après midi s'annonce prometteuse. (une anecdote en passant : c'était pendant la période de canicule )

Je pousse la porte qui comme prévu la porte ouverte, je trouve la dame du lac qui comme prévu est nue, assise dans un fauteuil "crapaud" rouge , dos à la porte et tête bien penchée à l'arrière pour me regarder entrer.... Ce deuxième point de vue vaut le premier en plus émoustillant.

D'ailleurs, je ne peux résister, tandis qu'elle garde cette position,  je dégrafe mon pantalon et me place derrière ce fauteuil pour profiter de cette bouche humide et gourmande qui n'attendait que cela pour s'activer, je ne reste pas inactif et caresse sa poitrine généreuse. Inutile de préciser que l'effet se fait vite sentir et qu'une certaine raideur s'installe ...là où il faut (lol). Mais, afin de ne pas épuiser les réserves tout de suite , je met fin à ce préliminaire inattendu et des plus charmant.

Nous avions prévu d'explorer le coté "chienne" de la Dame du lac. Elle se met à quatre pattes pour que je puisse lui mettre le collier, la laisse et lui planter la jolie petite queue blanche. j'ai oublié de préciser que la pièce est assez petite et un peu encombrée. Cela laisse peu de place pour la manoeuvre, mais en déplaçant quelques meubles nous arrivons à dégager un espace suffisant pour ce que je souhaitait faire.

Elle fait le tour de la pièce à quatre patte, je la promène en laisse et lui indiques les fondamentaux : Faire la belle, se placer en position couchée, assise. Elle se débrouille pas trop mal (je sais bien que la soumission n'est pas sa tasse de thé !). Je farfouille quelque peu dans son placard à provision, et trouve un sucre à lui offrir pour la récompenser de ce travail. J'étais partie un peu à l'arrache avec le minimum d'accessoires et je voyais bien que la Dame du lac commençait à avoir une petite fringale. Comment faire ? il y a toujours une solution à tout, je prélève quelques croquettes au chat (j'espère qu'il ne m'en voudra pas ! (lol) et les dépose par terre pour qu'elle puisse déguster son petit quatre heure. Rien qu'à sa figure, j'ai compris que ce n'était pas gagné, quelle grimace ! mais bon, à force de persuasion et de caresses, elle a quand même réussi à en croquer une et je n'ai pas insisté pour la suite, ce n'est que le début de son initiation !

Franchement, la canicule n'incitait pas à se dépenser plus que de raison, la laissant à quatre patte , je me déshabille, lui ôte sa petite queue de chienne pour occuper plus dynamiquement cette même place. Cette entrée en matière anusienne devenant inconfortable pour elle, je poursuit de manière vénusienne toujours dans la même position, la levrette étant idéale pour le concept "éducation canine".

Une anecdote en passant : pendant cet ébat, quelqu'un a frappé à la porte. Interloqués nous arrêtons notre ébat ... sa refrappe ... je luis demande à voie basse si la porte était fermée à clé .... elle me répond que non ...quel suspense. Je reprend doucement mon va et vient sans faire de bruit. L'alerte est passé, plus de toc toc intempestif. Le lendemain, j'ai eu l'explication. C'éatit son amie et voisine qui passait lui faire un petit coucou et qui a rapidement compris ce qui devait se passer derrière la porte et qui s'est esquivé discrètement. (A mon avis, elle aurait eu la surprise de sa vie si elle avait ouvert la porte, son amie en levrette avec un collier de chienne et des croquettes par terre (lol))

Cet épisode passé, nous terminons tranquillement nos ébats pour nous affaler dans le canapé et nous offrir des rafraîchissements ... notre séance n'avait pas atténuer la canicule, loin de là .

Dernière anecdote : je n'avais pas mon appareil photo et donc pas de souvenir de cette après midi là, autre que dans mes pensées

Comments

[Aroz]

Cela faisait un moment que je n'étais venue dans votre port...Vous racontez toujours aussi bien !