Outremer !

Après ce dialogue (publié dans le billet précédent) la belle arrive au pas de la porte. Ce qui est assez inespéré, je n'avais que trois jours (la promotion du site où elle était) pour obtenir l'échange de mail et pour poursuivre la conversation ! Je ne vais pas la décrire, elle l'a fait elle même dans un des messages publiés. La première impression, sa prestance dans ses mouvements et ses yeux bleu. "Elle avait les yeux outremer, elle en montrait la déraison" disait Aragon dans un de ses poèmes, voila un pseudo tout trouvé pour elle : Outremer.

Je l'invite à entrer, ce qu'elle fait avec grâce (d'un autre coté, elle n'a pas fait tous ces kilomètres pour repartir aussitôt), et à se débarrasser de son étole et sac à main que je range sur une étagère. Elle est prête, toute à ma disposition. Je la place devant moi main derrière le dos, elle n'a que sa robe noire et ses bas. Des formes, des rondeurs, une chair ferme et plastique, un corps fait pour le jeux et des yeux impatients. Je la débarrasse de sa robe, lui place les bracelets en cuir au poignets et aux chevilles et l'attache aux crochets de la porte,les bras bien haut, les jambes bien écartées. Il arrive que des complices étourdies oublient de garder les jambes bien écartées. Afin de lui éviter cette faute, qui engendrerait un punition immédiate, je lui place une barre d'écartement aux chevilles. Tout est en place ... même le bandeau sur les yeux, place au jeu. Au fait, elle est venu avec ses préservatifs, une légère allergie au latex lui fait prendre ses précautions.

Le premier coup de cravache claque sur son postérieur ... Elle laisse un râle de surprise s'échapper tandis qu'un beau triangle rosé apparaît. Je poursuis consciencieusement ma tâche pour répartir ces marques de cravache sur toute la surface de son fessier. Je m'interromps juste un instant, pour m'enquérir de son état, ses yeux sont en en accord avec ses paroles, elle aime. Un doigt, glissé entre ses cuisses, confirme son excitation et son envie de poursuivre. Je sors le martinet pour égaliser les couleurs, cela devient plus cinglant, quoique raisonnable, ce n'est qu'une initiation. La température monte, l'ambiance aussi. Ses râles font plaisir à entendre. Une petite finition au mini-paddle et c'est parfait, un rosé uniforme qui vire au rouge. Il est temps maintenant de s'occuper de son dos, et pour cela, je sors les lanières. Je pense que vous avez saisi que pour une néophyte, elle a une capacité de résistance assez intéressante, capacité que je compte bien explorée dans les rencontres futures. Les zébrures apparaissent sur son dos, mon bras s'allonge un peu trop parfois et les lanières atteignent ses bas flancs et poitrine, elle serre les dents et encaisse vaillamment. J'ai un problème de visée sur les épaules, je n'arrive pas à les atteindre correctement. Je m'acharne, je me déconcentre et bing ... une lanière atteint sa joue. Je me précipite pour la caresser et la rassurer, rien de grave, aucune marque sur la joue. Ce petit incident sans gravité ce jour là, mais qui aurait pu en avoir, m'incite à travailler mon self contrôle et ma concentration. Ceci marque la fin de la partie cinglante pour passer à la partie pinçante et pesante !

Pour cela, je la détache des crochets pour la ré-attacher dès qu'elle s'est retournée (ce qui n'est pas facile avec la barre d'écartements aux pieds !). Je commence par les seins. Je n'ai jamais été très satisfait de mes accessoires pour le seins. Soit j'avais des anneaux serrant qui emprisonnaient les tétons auquel je pouvait accrocher des poids, mais sans pincer, soit des pinces crénelées assez inesthétiques qui laissaient trop de marques. Avant l'été, je me suis fabriqué deux pinces qui devrait corriger ces deux défauts. Outremer semble assez résistante à la douleur pour pouvoir les tester en réel. Je pose la première avec précaution, en relâchant la pince au ralenti. Elle se crispe, elle serre les dents mais ne crie pas, je relâche complètement la pince, elle crie ! et se calme. je m'enquerris de son état, elle me rassure. elle est vraiment courageuse. Je pose la deuxième pince un peu plus vite, même cri, même contorsion et retour au calme. Je peux accrocher deux poids noirs aux pinces. Passons au sexe, je vais chercher mes deux pinces habituelles et re-glisse un doigt entre ses cuisses, cela ne va pas être simple, elle est tellement humide que les pinces vont glisser, ce qui ne manque pas d'arriver pour une, je la remplace par une autre plus forte. Comme pour les seins, des poids participent à l'amplification de la contrainte. Elle est calme, tout se passe bien, je lui pose le bâillon boule. Je ne l'avais pas fait auparavant, je voulais qu'elle soit toujours en capacité d'arrêter si la douleur devenait trop intense. Petite séance photo pour garder des souvenirs et je retire poids et pinces. Comme à chaque fois, elle aussi est surprise de la sensation qui apparaît ensuite ... la peau se réveille et provoque toujours un petit Aie ! Je masse sa poitrine pour calmer ces sensations, car j'ai bien envie d'étrenner un nouvel accessoire.

Cela à la forme d'un cintre en acier, avec deux bagues coulissantes pour graduer le serrage. Évaluons de nouveau la résistance d'Outremer, pas mal, cela passe (presque) comme une lettre à la poste. j'en profite pour y accrocher une série de huit poids, la tension et la contrainte s'accroit d'autant, ses contorsions aussi. Fin de la séquence pinçante.

La voila détachée de la porte, je lui pose un collier en acier (encore une nouveauté, remarquez depuis janvier, j'ai eu le temps de bricoler et de faire des trouvailles (lol)) et une laisse du même métal, pour faire ton sur ton. Elle prend différentes positions de soumissions, sans rechigner et pose pour la galerie photo. Elle va en avoir des souvenirs ! Harnais-bâillon, à genoux, la laisse dans la bouche, présentation de la cravache, etc. Tout y passe et avec le sourire, ce qui ne gâte rien. Passons à la partie pénétrante.

Elle m'avait déjà indiqué la sodomie comme un de ses péchés mignons. il y a des péchés plus désagréables (lol) !!! et elle m'affirme être assez gourmande de ce coté là. Je la crois, et sans passer par les intermédiaires, mais en lubrifiant au préalable, je lui place un plug pour ouvrir le terrain. En effet, la voie est facile d'accès, sans rétrécissement. De nouveau, râles et gémissements démontrent sa satisfaction. Passons à l'étape suivante. Je sors le long plug crénelés et le place devant elle, sous sa figure. Elle montre sa surprise, accompagnée d'une petite inquiétude. Vaillamment, toujours à quatre pattes, elle lubrifie consciencieusement de plug avec sa bouche saliveuse. Outremer a une certaine profondeur en bouche qui laisse présager une séance buccale intéressante. Elle atteint presque le sixième crans. Il faut qu'elle s'entraine encore un peu chez elle, et elle sera parfaite. La lubrification étant satisfaisante, je lui reprend pour passer derrière elle et mesurer sa profondeur anale. Et bien j'arrive à l'enfoncer sur sept crans. Belle gourmandise, elle m'avoue ensuite qu'il est plus impressionnant que blessant ... je le sais bien, je ne suis pas une brute !

Il me reste encore un peu de temps, que vaut-elle en éducation canine ? Je lui enfonce une petite queue blanche et je la promène à la laisse, la démarche est souple et ondoyante, c'est agréable à contempler. Pour les jappements, il y a des progrès à faire (lol) ! Elle s'approche de moi à quatre pattes pour me lécher les pieds, elle le fait avec application. Toute ces scènes ont fait l'objet de petites vidéos. Il est temps pour moi d'abuser d'elle et d'assouvir mon désir.

Même si elle m'a montré toute ses capacités buccales sur le plug, et même si j'ai toute confiance en elle (lol), je place dans sa bouche un tube de diamètre suffisant qui lui ôte tout libre arbitre et me laisse tout contrôle de la fellation qui en découle. Elle est vaillante et courageuse. Cette séquence m'ayant mis dans un état plus qu'érectif, je me place derrière elle, et ... je profite allégrement de son arrière train, soleil et lune alternativement ... Elle ne manque pas d'indiquer sa satisfaction quelque soit l'entrée que j'emprunte.
J'explose .. elle gémit ... et on s'étale par terre pour attérir en douceur en papotant.

Le petit message qu'elle m'a envoyé le lendemain laisse présager une suite .... : "Cher magicien, grande frustration pour moi ce soir!!!!!!! Les photos ne s'ouvrent pas et quand je veux aller voir votre blog l'ordi me dit qu'il ne trouve rien!!!!!!! Je continue d'essayer, j'ai bien trop envie de voir.....  J'ai aujourd'hui quelques courbatures......mais celà ma rappelle le plaisir que j'ai eu hier!!!!!!! Pour les marques, rien de grave. De toute façon je ne porte pas de bikini!!!!  Je me réjoui à l'idée de notre prochaine séance.....!!!!!! Je dois vous avouer que le fait d'avoir à japper ne m'a pas forcément plus. Pour vos pieds, je ne suis pas fan mais ça peut encore aller.  Votre dévouée élève".

Petite anecdote. Elle à réussi à lire le blog, et pour les photos, elle a appelé son ami photographe. Je n'ose imaginer la surprise qu'il a eu (lol) !